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Vivre une césure décroissante : témoignages

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Vivre une césure décroissante : témoignages

Profitez de la césure pour explorer et vivre la décroissance : vélo, paysagisme écologique, agroécologie, woofing, ... Ce Café Frappé sera l’occasion d’échanger avec une élève-ingénieure et un alumni de CentraleSupélec qui ont choisi la décroissance pour leur césure. Maïlys Gallier (24+1), Melen Le Corre (23+1) et Aymeric Noël (23+1) ont pour cela effectué un stage chez « Cargonomia » à Budapest, coopérative sociale qui assure la distribution de nourriture locale et biologique en vélos cargos construits artisanalement sur place et dont Vincent Liegey est un des coordinateurs·rices. Mais leur expérience ne s’arrête pas là…

Maïlys a parcouru l'Europe à vélo pendant sa césure en 2024 et a expérimenté la décroissance sous toutes ses formes : entretien d’un parc en Italie, agroécologie et vélos cargos en Hongrie, woofing dans une ferme de maraîchage en Autriche, Repair Café et paysagisme en Allemagne, et adaptation des villes au changement climatique aux Pays-Bas. Elle est aujourd’hui en troisième année à CentraleSupélec, dans la Mention « Environnement et Production Durable » de la Dominante « Vivant, Santé, Environnement », et effectue en parallèle un Master 2 « Économie de l'Environnement, de l'Energie et des Transports » à AgroParisTech.

Melen et Aymeric ont passé six mois en césure chez Cargonomia en 2023. Melen y a découvert les activités d'agroécologie, d'écoconstruction et de sensibilisation du collectif, et approfondi les sujets de la décroissance et du revenu universel, avant de conclure ce travail par l'organisation d'ateliers grand public. Il est aujourd’hui chargé de mission « Bifurcation écologique » à la ville de Trappes. Aymeric, quant à lui, a passé deux jours par semaine à travailler dans une ferme en agroécologie proche de Budapest et les trois autres jours à travailler sur des projets personnels liés à la décroissance, avec un accompagnement par les membres de la coopérative. Il a notamment contribué à l’organisation de la « 9th Internation Degrowth Conference » à Zagreb, qui a eu lieu sur une semaine en août 2023. Il est actuellement chef de projet sur l'adaptation au changement climatique à la ville et l'Eurométropole de Strasbourg.

Rendez-vous :

  • Dans l'ancienne bibliothèque du rez-de-chaussée du bâtiment Eiffel de CentraleSupélec (MH.045)
  • Ou sur Teams (accessible à tou·tes sans authentification).

Ce Café Frappé est coorganisé avec l'association écologiste étudiante Impact et le Lumen, lieu d'études, de culture et d'innovation de l'Université Paris-Saclay.

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Décroissance ou croissance verte ? Un choix à faire pour les ingénieur.es (1)

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Décroissance ou croissance verte ? Un choix à faire pour les ingénieur.es (1)

L’idée de croissance est au cœur des économies de toutes les grandes démocraties occidentales. La croissance, c’est la promesse de la mobilité sociale, d’un pouvoir d’achat et un niveau de vie plus élevés que ceux de nos parents. Mais à l’heure du défi climatique, écologique et énergétique est-ce encore possible ou désirable ? Comme la perspective d’une fin de la croissance, la décroissance fait peur, et l’idée même est souvent écartée d’office en faveur d’une « croissance verte » qui peine à se matérialiser.

Mais que signifie vraiment la décroissance pour nos économies ? À quoi ressemblerait la vie si elle se fondait sur une prospérité sans croissance ? Et quel serait le rôle de l’ingénieur·e dans tout cela ?

Cette conférence avec Vincent Liegey, qui interviendra à distance de Budapest, propose de s’interroger sur les moyens de gérer cette inéluctable « sortie de la croissance » sans pour autant renoncer ni à la démocratie, ni à la justice, ni même à la convivialité et sur le rôle l'ingénieur·e face à ces enjeux.

Vincent Liegey, ingénieur et auteur de plusieurs essais sur le sujet — dont « Sobriété (la vraie), mode d'emploi » (Tana, 2023) et « Routledge Handbook of Degrowth » (Routledge, 2025) — est très impliqué dans les réseaux internationaux sur la décroissance et dans l’organisation des « International Degrowth Conferences » qui les rassemblent. À Budapest, où il réside, il est un des coordinateurs·rices de la coopérative sociale « Cargonomia », qui assure la distribution de nourriture locale et biologique en vélos cargos.

Rendez-vous :

  • Au théâtre Rousseau du bâtiment Bouygues de CentraleSupélec
  • Ou sur Teams (accessible à tou·tes sans authentification).

Ce Café Frappé est coorganisé avec des élèves de troisième année du cursus ingénieur·e de la Dominante Énergie, l'association écologiste étudiante Impact et le Lumen, lieu d'études, de culture et d'innovation de l'Université Paris-Saclay.

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Transition énergétique, quel avenir pour ce concept sans histoire ?

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Transition énergétique, quel avenir pour ce concept sans histoire ?

La transition énergétique que nous sommes censé·es amorcer repose sur une certaine idée du passé : confronté·es au changement climatique, il nous faudrait accomplir une transition (vers le nucléaire et/ou les renouvelables), tout comme par le passé, nous sommes censé·es avoir accompli une transition du bois au charbon puis du charbon au pétrole. Le problème est que cette idée du passé est imaginaire et matériellement fausse : aucune « transition énergétique » n’a jamais eu lieu, au sens où les sources d’énergies nouvelles ne se sont jamais substituées aux précédentes. Elles se sont plutôt additionnées et ont développé des relations symbiotiques avec les précédentes.

Dans ces conditions, pourquoi et comment la notion de « transition énergétique » s’est-elle imposée, à partir des années 1970, au point de devenir le futur de nos gouvernants, des cabinets de conseils aux organisations internationales, bref, le futur réconfortant des gens raisonnables ?

C’est ce que viendra nous expliquer Jean-Baptiste Fressoz, historien de l’énergie, qui exposera d'abord les thèses développées dans son dernier livre, « Sans transition. Une nouvelle histoire de l'énergie » (Seuil, 2024). Il débattra ensuite avec Christophe Laux, professeur en énergétique à CentraleSupélec, et avec le public sur la possibilité ou la plausibilité d’une transition énergétique à venir. Enfin, les échanges se prolongeront autour d'un buffet.

Jean-Baptiste Fressoz, normalien (Cachan 97) et docteur de l'EHESS (09), est historien des sciences, des techniques et de l’environnement au CNRS. Son livre « Sans transition. Une nouvelle histoire de l’énergie » a reçu de nombreux prix en France et à l’étranger.

Christophe Laux, ingénieur centralien (88) et docteur de Stanford University (93), est professeur des universités à CentraleSupélec et chercheur au laboratoire EM2C sur des thématiques liées à l'énergétique et à l'aérospatial. Il est actuellement co-responsable de la Dominante Énergie, qui accueille la plupart des cours en énergétique du cursus ingénieur·e.

Ce Café Frappé est coorganisé avec des élèves de troisième année du cursus ingénieur·e de la Dominante Énergie.

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Tension sur les ressources : la low-tech pour transformer l'industrie

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Tension sur les ressources : la low-tech pour transformer l'industrie

Satisfaire aux besoins essentiels des territoires dans le respect des limites planétaires exige de transformer l’industrie en profondeur, dans une logique d’économie circulaire. Cette véritable transition sociale et environnementale des métiers ne pourra se faire sans valoriser socialement les savoir-faire des acteurs locaux de la chaîne de valeur, en particulier les artisans et ouvrières et ouvriers spécialisé·es.

L'entreprise La Belle Tech vise à intégrer de façon harmonieuse l’industrie traditionnelle dans un nouveau modèle économique et productif, plus ouvert, plus accessible pour les habitant·es des territoires et pensé pour être répliqué sous contraintes pour faire face à l'inconnu. Dans ce modèle, diffusable publiquement (sous licence Creative Commons), chaque usine est partie prenante d’un écosystème de petites et moyennes industries (PMI) de sous-traitance. Dans ce cadre, La Belle Tech promeut des technologies sobres et ingénieuses dans les milieux professionnels en industrialisant des Low-Tech existantes (poêle rocket pour la restauration, Vhélio pour la mobilité, pyrolyseur de biochar pour l'agroforesterie, ...). En imaginant des systèmes sociotechniques qui s'appuient sur les savoir-faire liés à ces solutions techniques nouvelles, cette entreprise accompagne la transformation des métiers vers davantage d'autonomie et de sobriété.

Ingénieur spécialiste des organisations industrielles, Loïc Pérochon structure la stratégie de l'entreprise La Belle Tech et coordonne les actions de l’équipe et de ses partenaires. Formé par l'ADEME Normandie, il accompagne les entreprises dans leur démarche d'écoconception et intervient également dans l'enseignement supérieur sur ce sujet ainsi que sur la Low-Tech et la transformation industrielle. Afin d'éviter une fracture idéologique entre les militant·es de la Low-Tech (souvent des ingénieur·es) et la classe ouvrière, il propose le concept démocratique d'usine distribuée pour ouvrir et transformer les PMI traditionnelles. Enfin, il a co-créé avec Arnaud Crétot la méthode Tâche Énergivore Lorsque l’Énergie est Disponible (TELED), qui offre un cadre rationnel pour penser l’organisation des entreprises autour d’un accès variable à l’énergie et aux ressources.

Ce Café Frappé est coorganisé avec le Lumen et le Design Spot, respectivement lieu d'études, de culture et d'innovation et centre de design de l'Université Paris-Saclay, ainsi qu'avec le Forum Ingénieur·e·s Responsables (FIR), association étudiante qui organise tous les ans un forum de rencontre entre étudiant·es et entreprises engagées dans la transition écologique et l'économie solidaire.

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L'écologie fait des bulles ! La BD, un bon moyen pour alerter ?

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L'écologie fait des bulles ! La BD, un bon moyen pour alerter ?

En quoi la BD est-elle un médium adapté pour parler d'écologie et de science ?
À la fois facile d’accès et sophistiquée, mise en images et mise en récit, petite histoire et grande fable, la bande dessinée est un art « tout terrain » qui semble parler à chacun·e d’entre nous. Que ce soit pour émerveiller, émouvoir, faire réfléchir ou alerter sur la catastrophe écologique actuelle, elle a toute sa place dans les stratégies de mobilisation mises en œuvre pour lutter.
Lors de ce Café Frappé, Marc-André Selosse et Téo Saal nous expliquent pourquoi ils ont souhaité faire de la BD pour parler d'engagement écologique et quel chemin ils ont suivi pour y arriver.

Marc-André Selosse, normalien (Ulm 90) et ingénieur des eaux et forêts (ENGREF 93), est professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle à Paris. Mycologue et botaniste, ses travaux portent sur l’écologie et l’évolution des associations à bénéfices mutuels (appelées aussi symbioses) et en particulier sur celles qui unissent des champignons du sol aux racines des plantes. Membre de l’Académie d’Agriculture et de l’Institut Universitaire, il est l'auteur de nombreux articles scientifiques et d'ouvrages grand public, notamment sur les microbiotes (Jamais seul, 2017), les tannins (Les goûts et les couleurs du monde, 2019), le sol (L’origine du Monde, 2021) et la place de l’humain dans la nature (Nature et Préjugés, 2024). Il est par ailleurs coauteur d’une bande dessinée sur le sol avec Mathieu Burniat (Sous Terre, 2021).

Téo Saal est ingénieur diplômé de l'École Centrale de Nantes (ECN 16). Après avoir travaillé dans un bureau d'études environnement dans le bâtiment et l'urbanisme, il se tourne vers le monde académique et décide de participer à l'enseignement des enjeux de transition écologique et sociale. Après une mission avec l'association Campus de la Transition, il est aujourd'hui enseignant à l'ECN en charge des projets tutorés étudiants et des projets interdisciplinaires. En parallèle de son activité, convaincu du pouvoir de l'art, de la culture et des récits pour transformer la société, il est le coauteur d'une BD avec Jonas Teboul et Lucas Zufic (Apporter Demain, 2023), qui illustre les travaux menés en 2019 et 2020 lors de la Convention Citoyenne pour le Climat.

Ce Café Frappé est coorganisé avec le Lumen, lieu d'études, de culture et d'innovation de l'Université Paris-Saclay.

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Désastre écologique : les scientifiques aussi ont des émotions !

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Désastre écologique : les scientifiques aussi ont des émotions !

Face au changement climatique et à l'effondrement de la biodiversité, les scientifiques doivent-iels ne parler que de chiffres, garder une impartialité et mettre de côté leurs émotions ? Au contraire, peuvent-iels partager leurs questionnements et leurs bouleversements intérieurs ?

Dans le recueil Rencontres intimes avec l'Anthropocène, des scientifiques du collectif Labos 1point5 ont fait le choix de raconter leur prise de conscience des crises environnementales et leur engagement dans leur vie personnelle, leurs enseignements, leurs laboratoires, ...

Les Cafés Frappés vous convient à venir écouter cinq de ces récits sous la forme d'une représentation théâtrale, gratuite et ouverte à tout·es, le mardi 14 mai à 18h au théâtre Rousseau de CentraleSupélec. Cinq comédien·nes de la compagnie Texte Hors Contexte (Nolwenn Le Gal, Yann Le Corre, Fanny Prospéro, Cécile Peyrot et Xavier-Adrien Laurent) vous feront partager les doutes et les espoirs de ces scientifiques engagé·es à travers une mise en scène d'Ivan Magrin-Chagnolleau. Retrouvez-les dès à présent dans la bande-annonce de la pièce.

Le public sera ensuite invité à débattre avec les comédien·nes et deux scientifiques ayant témoigné dans le recueil, Patrick Hennebelle (Directeur de recherche au CEA) et Guillaume Blanc (Maître de conférences à l'Université Paris Cité).

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Quel lien entre écoféminisme, subsistance et Low-Tech ?

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Quel lien entre écoféminisme, subsistance et Low-Tech ?

À l’heure où les avancées du féminisme comme celles de l’écologie prennent un tournant crucial, venez découvrir ce qui lie ces engagements à première vue bien distincts.

L’écoféminisme étudie les similarités qui peuvent exister entre l’exploitation, les violences faites aux femmes, les pressions sur les ressources naturelles et les écosystèmes.

Lors de cette conférence, vous aurez l’opportunité de mieux comprendre ce mouvement à l’importance croissante ainsi que les liens qui lient l’écoféminisme à la subsistance, qui est la création et la préservation de la vie pour elle-même.

Cela nous permettra de faire un lien avec la Low-Tech, une manière d’innover et de penser la technologie centrée sur les besoins et la soutenabilité.

Pour ce Café Frappé coorganisé avec l'association féministe Çapèse de CentraleSupélec, nous recevons Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre, chargée de recherche à l’EHESS. Elle est notamment l’autrice de Quotidien politique. Féminisme, écologie et subsistance (La Découverte, 2021) et de son second volet, La subsistance au quotidien. Conter ce qui compte (La Découverte, 2024).

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Low-Tech : satisfaire les besoins humains dans les limites planétaires

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Low-Tech : satisfaire les besoins humains dans les limites planétaires

Changer de trajectoire pour effectuer une transition écologique et solidaire ambitieuse, c'est avant tout se donner les moyens d'innover. Mais de quelle innovation parle-t-on ?

Si, pour certain·es, la technologie et son progrès sont tout tracés et voués à suivre la voie de la "High-Tech pour le durable", d'autres mettent en avant de nouvelles manières d'inventer les technologies de demain, en adoptant une démarche qui questionne d'abord les besoins dans une optique de soutenabilité forte. C'est par exemple le cas de la Low-Tech, qui repose sur trois grands principes : utilité, accessibilité et durabilité.
 

Dans ce Café Frappé, Emma Bousquet-Pasturel nous fera découvrir différentes applications de la Low-Tech, lors d'une intervention en trois temps :
• Introduction sur le concept de Low-Tech
• Diffusion d'enquêtes de terrain menées par l'association Low-Tech Lab
• Présentation du projet de biosphère urbaine sur lequel Emma travaille, suivie d'un débat avec le public


Emma Bousquet-Pasturel est ingénieure en conception mécanique de l'Université de Technologie de Compiègne. Elle a effectué son stage de fin d'étude au Low-Tech Lab. Aujourd'hui, elle travaille aux côtés de Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz sur la préparation de la prochaine expérimentation du programme Biosphère, soutenue par le Low-Tech Lab et la ville de Boulogne-Billancourt. Ce programme se divise en deux volets : une expérimentation de modes de vie Low-Tech sur le territoire boulonnais et un programme de sciences participatives ouvert à tou·tes.

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Pas de planète B mais un modèle bis : comment transformer notre modèle agricole ?

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Pas de planète B mais un modèle bis : comment transformer notre modèle agricole ?

Cela fait bien longtemps que notre mode d'agriculture, adopté dans l'après-guerre pour relancer la production de masse à bas coût, est pointé du doigt en raison de ses impacts environnementaux et sociaux. S’il est clair que ce modèle doit évoluer, la marche à suivre ne l’est pas toujours.

Lors de ce Café Frappé organisé en partenariat avec la mention EPD (Environnement et Production Durable), nous nous proposons d’aborder ces questions vitales pour l’agriculture, et pour nous tous êtres vivants sur notre seule et unique planète :

  • Changer d’agro-modèle : pourquoi l’agroécologie est nécessaire et comment y arrive-t-on ?
  • Comment travaillent les agricultrices et agriculteurs qui la pratiquent ?
  • Et comment peut-on faire passer à l'échelle ce modèle ?
  • Quels sont les freins et les leviers d'une transformation systémique de la ferme France ?

Sophie Pons, ingénieure agronome et responsable des formations chez Fermes d'Avenir (https://www.fermesdavenir.org) viendra nous faire part des réflexions de sa structure sur ce sujet. 

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CentraleSupélec à l'épreuve de la transition écologique : pass or fail ?

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CentraleSupélec à l'épreuve de la transition écologique : pass or fail ?

En ces temps de crise environnementale et sociale majeure, qui a des répercussions sur les équilibres de nos sociétés, beaucoup d'élèves, de personnels enseignants et non enseignants et d'alumni de CentraleSupélec s'interrogent sur les façons de participer à l'adaptation de l'école pour y faire face.

Lors de ce Café Frappé, nous accueillerons :

  • Romain Soubeyran, directeur de CentraleSupélec,
  • Pauline Katchavenda, alumni p2104, directrice de Recyfe, réseau national de recyclage de menuiseries par des entreprises d’insertion et des entreprises adaptées,
  • Hermès Couturier, élève en césure, ex-trésorier carbone de l'association étudiante écologiste Impact, ex-membre du Forum Ingénieurs Responsables (FIR), membre du Groupe de Réflexion pour l’Intégration de la Transition Écologique dans le Cursus (GRITEC),
  • Raphaël Richard, élève en deuxième année, président du FIR 2024,

L'échange portera sur les sujets suivants :

  • Prise en compte du consensus scientifique sur la transition écologique,
  • Actions de transition écologique à CentraleSupélec, notamment au sein de la formation ingénieur·e,
  • Rôle de la formation dans la variété des parcours des diplômé·es de l'école,
  • Responsabilité de CentraleSupélec et de ses alumni dans l'élaboration de nouveaux imaginaires.

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Etre ingénieur·e face à l'urgence climatique: vaut-il mieux en rire ou inverser une matrice?

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Etre ingénieur·e face à l'urgence climatique: vaut-il mieux en rire ou inverser une matrice?

A l’occasion d’ApArtés, festival artistique organisé par le Bureau des Arts de CentraleSupélec, les Cafés Frappés vous proposent d’allier humour et écologieau théâtre avec Matthieu Brillard, devenu vidéaste et humoriste après des études d’ingénieur et un début de carrière dans le marketing.

Après un spectacle dans lequel il incarnait Jésus et apportait sur scène le rapport Meadows, Matthieu continue dans l'humour écolo en participant au podcast "L'Avis de Mamère" avant de créer l'émission "Un Café Décroissant" sur TV4Planet dans laquelle il reçoit dans chaque épisode un expert de la transition écologique et un humoriste.

Il a reçu d’illustres Centraliens comme Valérie Masson Delmotte, Philippe Bihouix et Karim Duval mais aussi de simples mortels comme Timothée Parrique, Alex Montvernay ou encore Camille Étienne.

Matthieu est aujourd'hui porte-parole de TV4Planet, écrit son deuxième spectacle sur la démocratie et croit plus que jamais dans le lien entre Transition écologique et projets artistiques: il participe d'ailleurs avec 5 autres artistes à la saison 3 de NEXT."

 

Le Café s’articulera en 3 temps:

-extraits de son spectacle en cours d'écriture,

-échanges avec l'assistance,

-poursuite des échanges autour du pot.

Nous vous y attendons nombreux :) !

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Déserter ou rester ? L'ingénieur·e face à la transition écologique et sociale

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Déserter ou rester ? L'ingénieur·e face à la transition écologique et sociale

C’est la rentrée de la saison 5 des Cafés Frappés! Les élèves se posent de plus en plus de questions et font témoigner quelques uns de leurs camarades.

Quelle est la place des ingénieur.e.s dans la transition écologique et solidaire? 

Que devons-nous attendre de nos études? 

Que sommes-nous prêt.e.s à faire pour changer nos cursus?

 

Les écoles d'ingénieur.e.s ont encore aujourd'hui des changements à opérer pour adapter la formation aux enjeux environnementaux et sociaux. Les élèves demandent de plus en plus de modification des cursus afin qu'ils prennent en compte les questions de transition. Cependant, pour certain.e.s, les choses ne changent pas assez vite. Alors que faire? Durant ce Café Frappé, quatre étudiants ou jeunes ingénieurs vont confronter leurs opinions à ce sujet :

-James Amar, ancien membre de la promotion P2024, a démissionné de Centrale Supélec à la fin de l'année dernière et publie une lettre de démission sur LinkedIn pour expliquer les raisons de son départ 

-Antoine Gourbilleau et Erwan Gardies sont en troisième année. Après une césure originale, ils ont tous deux décidé de rejoindre un groupe de troisièmes années travaillant sur une adaptation du cursus,

-Tom Gagnebet, récent diplômé chargé de mission planification de la décarbonation de l'industrie au Ministère de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et qui a choisi de travailler au cœur de la transition de la sphère publique.

Nous vous espérons nombreux pour venir échanger avec eux sur les motivations de leur future vie professionnelle.

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La technologie contre le vivant ? L'écriture pour transformer les imaginaires.

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La technologie contre le vivant ? L'écriture pour transformer les imaginaires.

Lors de ce Café (présentiel et distanciel), coorganisé avec la Direction des Bibliothèques, Information et Science Ouverte de l'Université Paris-Saclay, Alain Damasio proposera une réflexion sur l'écriture comme outil de lutte par la modification des imaginaires et développera sa pensée techno-critique à travers des lectures d'extraits de ses textes. 

Un échange avec le Collectif Contre la Ligne 18 et l’Artificialisation des Terres sur les lieux alternatifs comme expérimentations concrètes d'un autre monde, et en particulier sur la ZAD de Zaclay et surl'écolieu « L'école des vivants » que notre invité a cofondé, constituera le point d'orgue de la rencontre. 

Les discussions pourront ensuite se prolonger de manière plus informelle lors d'un cocktail. En parallèle, les bibliothèques de CentraleSupélec et la librairie Lagiraf du quartier du Moulon proposeront des livres à emprunter et à acheter et Alain Damasio dédicacera ses livres.

Les principales questions abordées dans ce Café Frappé seront : 

Comment inventer un futur meilleur pour tou·tes dans le contexte des crises environnementales et sociales qui nous bouleversent ?

La technologie doit-elle en être un des fondements ?

Explorer d'autres manières de se relier au monde par le vivre et le faire ensemble peut-il nous permettre d'inventer un « monde d'après » dans lequel le vivant retrouverait sa place ?

 

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Alain Damasio est un écrivain de science-fiction, de fantasy et de poésie visuelle. En 2001, il publie son premier texte long, « La zone du dehors », récit d’anticipation sur les sociétés de contrôle inspiré par les travaux de Michel Foucault. Depuis la parution en 2004 de « La horde du contrevent », il propose des récits polyphoniques, qui lui permettent d'habiter plusieurs corps, où la langue est travaillée de manière physique et physiologique. Le roman « Les Furtifs » réunit en 2019 ses préoccupations politiques, son inventivité de langage et ses innovations typographiques. Saluée par la critique, dévorée par le public, son œuvre, sans équivalent dans les littératures de l’imaginaire, a reçu de nombreuses récompenses : plusieurs Grands Prix de l’Imaginaire, prix Imaginales des Lycéens, prix Européen Utopiales, meilleur livre du magazine Lire, ... Alain Damasio est par ailleurs le cofondateur du lieu expérimental « L'école des vivants », dont l'objectif est de nourrir une culture du Vivant et de battre le capitalisme sur le terrain du désir.

Le Collectif Contre la Ligne 18 et l’Artificialisation des Terres vise à rassembler largement autour de la lutte locale mais d’intérêt national contre la construction de la ligne 18 du métro du Grand Paris Express. Ouvert à tou·tes, il se propose de lancer des mobilisations, d’informer la population, de soutenir et de mutualiser les initiatives de ses membres dans la diversité de leurs modes d’action (juridique, politique, médiatique, revendicatif, ...). Suite à l’accélération des travaux liés à la ligne 18, un lieu de vie, de rencontres et d'échanges a été créé en mai 2021 dans un champ du plateau de Saclay prêté par des agriculteur·rices, en association avec d'autres collectifs : la ZAD de Zaclay.

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Qui veut la peau de l'intelligence artificielle ? Promesses, limites et enjeux.

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Qui veut la peau de l'intelligence artificielle ? Promesses, limites et enjeux.

Ce Café démarrera par la projection du documentaire «Autopsie d'une intelligence artificielle», prix étudiant du festival international du film scientifique Pariscience 2022 , qui analyse la notion d'intelligence artificielle et la déconstruit méthodiquement. Cécile Dumas, journaliste et co-autrice du documentaire, et Nicolas Sabouret, enseignant-chercheur en intelligence artificielle à CentraleSupélec, proposeront ensuite une réflexion sur les bénéfices, les risques et les limites de l'intelligence artificielle, en particulier pour ce qui concerne les questions de transition écologique et sociale. Cet échange se conclura par un moment convivial autour de boissons froides et chaudes et de petits gâteaux.


Les principales questions qui orienteront ce Café Frappé seront :

Jusqu'à quel point voulons-nous que l'intelligence artificielle affecte nos vies ?

Y a-t-il vraiment un risque qu'un jour les machines prennent l'ascendant sur les êtres humains ?

Quels sont les impacts environnementaux et sociaux de l'intelligence artificielle (changement climatique, ressources en matières premières, biodiversité, inégalités sociales, ...) ?

Les solutions qu'elle propose peuvent-elles réellement contribuer à la résolution des crises actuelles ?


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Cécile Dumas explore tous les domaines de la science depuis une vingtaine d'années. Journaliste, elle débute à la radio sur France Inter et décide rapidement de se consacrer à la « popularisation » des sciences, pour faire connaître et partager un univers méconnu dʼune grande parte du public et que le journalisme permet dʼexplorer avec curiosité et liberté. Après plusieurs années dans la presse écrite, elle poursuit ce cheminement depuis dix ans par l'écriture de films documentaires.

Nicolas Sabouret est professeur à l'Université Paris-Saclay, enseignant à la faculté des Sciences d'Orsay et à CentraleSupélec et chercheur au Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique [https://www.lisn.upsaclay.fr/]. Ses travaux portent sur la modélisation et la simulation du comportement humain. Ils combinent des modèles d'intelligence artificielle avec des théories de la cognition et de la prise de décision humaines issues des sciences humaines et sociales. Il est l'un des principaux acteurs en France du groupe de travail « Agents conversationnels, affects et interaction » et il a été le coordinateur scientifique du projet européen TARDIS. Il a écrit en 2019 l'ouvrage « Comprendre l'Intelligence Artificielle », à destination du grand public, et dirige actuellement la Graduate School « Informatique et Sciences du Numérique » de l'Université Paris-Saclay.

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Nourrir l'Europe :  l'agroécologie peut-elle passer à l'échelle ?

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Nourrir l'Europe :  l'agroécologie peut-elle passer à l'échelle ?

Depuis de nombreuses années désormais des agricultrices·teurs, paysan·nes, productrices·teurs ont testé et mis en œuvre des pratiques culturales respectueuses des humains et de l'environnement, avec de nouveaux modèles économiques leur permettant une vie décente : Ferme du Bec Helloin, Terre et Humanisme, Terre de Liens, réseau Biocoop, ...
Or aujourd'hui deux cents fermes disparaissent par semaine, deux-tiers des ventes sont dédiées à l'agrandissement, la SAU (Surface Agricole Utilisée) est passée de trois-quarts de la France en 1950 à la moitié en 2020.

Pourquoi l'agriculture, compte tenu de ses impacts environnementaux, sociaux et sanitaires délétères, n'arrive-t-elle pas à se réformer ?
Quel avenir pour une agriculture non conventionnelle ?
Quels leviers pour changer les pratiques et modèles ?
N’avons-nous le choix qu’entre une agriculture industrielle aux effets environnementaux, sociaux et sanitaires délétères et une agroécologie irresponsable économiquement et socialement car insuffisamment productive ?

Pour nous aider à comprendre la situation, Xavier Poux nous fera part de son expérience sur le sujet, des écueils rencontrés et des solutions entrevues pour y remédier.

Xavier Poux est ingénieur agronome AgroParisTech, docteur en économie rurale (thèse sur l’analyse d’un système agraire régional). Depuis plus de vingt-cinq ans à AScA (http://www.asca-net.com/), il analyse les relations entre les politiques publiques, le développement agricole – dans ses dimensions économiques, sociales et technologiques – et la gestion de l’environnement. Il a développé plus particulièrement des compétences dans le champ de l’évaluation des politiques et de la prospective environnementale. Il est impliqué dans une recherche intervention visant à activement faire évoluer la prise en charge collective d’un développement agricole et territorial fondé sur la nature. À l’origine du projet TYFA [https://www.iddri.org/fr/projet/reussir-la-transition-agro-ecologique-en-europe] de l’IDDRI, il est chercheur associé de cette fondation depuis 2016.

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De l'entreprise à l'humour : parcours d'un électrocentralien... atypique?

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De l'entreprise à l'humour : parcours d'un électrocentralien... atypique?

Karim Duval est humoriste, comédien et auteur. Diplômé de Centrale Paris (promotion 2005), ancien cadre dans une grande entreprise, il consacre sa vie à la scène et à l’humour depuis maintenant douze ans.

Sur les réseaux sociaux, il pastiche des « bullshiters » très connus et dépeint les absurdités de notre société et du monde du travail. Il est actuellement en tournée en France (et au-delà) avec son spectacle « Y », qui croque la fameuse génération Y, en quête de soi, de sens et d’amusement.

Lors de notre Café Frappé, Karim témoignera sur son parcours, sa vision du management et de la prise en compte des questions écologiques et sociales dans les entreprises, ainsi que de sa bifurcation professionnelle. Son intervention sera ponctuée d'extraits vidéo de sketchs et sera suivie d'un échange convivial autour de boissons et de gâteaux.

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Bâtiment à énergie positive: rêve ou réalité ?

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Bâtiment à énergie positive: rêve ou réalité ?

Les modes d'urbanisation et l'industrie du bâtiment ont des impacts sociaux (trajets importants domicile-travail, nature des travaux des chantiers, main d’œuvre lointaine...) et environnementaux (utilisation de transports émissifs, utilisation de ressources comme le sable, l'eau...) très importants.

La tour Elithis, un démonstrateur de bâtiment à énergie positive de grande dimension date de 2009. D'autres initiatives de construction bois avec isolation paille, ou même avec structure porteuse en paille existent depuis longtemps et auraient pu être déployées plus largement pour remplacer par exemple un usage du béton très émetteur en gaz à effet de serre et dévastateur en ressources, notamment le sable d'eau.

Pour nous aider à comprendre la situation, Thierry Bièvre, président de la société Elithis, nous fera part de son expérience sur le sujet, des écueils rencontrés et des solutions entrevues pour y remédier.

Les principales questions qui orienteront ce Café Frappé seront : 

- Qu'a-t-on (la société : entreprises, politique, citoyen,...) fait depuis ?

- Les grandes entreprises du bâtiment sont toujours des constructions béton: pour quelles raisons ?

- Quel avenir pour la construction durable dans le monde tel qu'il va aujourd'hui... ?



Thierry BIEVRE est président Fondateur du Groupe Elithis qui a livré une 1ère mondiale en tertiaire à énergie positive avec la livraison de la tour Elithis en 2009, et président du Pôle de Compétitivité Fibres Energivie.
Il est également Président et Fondateur de « Terra Ethica », Association loi 1901, réseau de professionnels impliqués dans la lutte contre le réchauffement climatique et la Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE).

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Regards croisés sur la décarbonation : témoignage de deux trajectoires professionnelles de transition

Regards croisés sur la décarbonation : témoignage de deux trajectoires professionnelles de transition

Nous devons changer nos façons de vivre et de travailler pour intégrer de nouveaux enjeux systémiques. Mais par quoi commencer ? La décarbonation est au centre des débats et il faudra s'y atteler ! Les solutions sont-elles là ? Et au-delà ?

Comment se consacrer à ce qui compte vraiment ? De quoi souhaitons-nous prendre soin par notre activité ? Comment faire pour concilier conviction et profession ? Quelles orientations privilégier après avoir démarré ? Pouvons-nous bifurquer et comment ?

Pour témoigner sur ces sujets, nous avons le plaisir d’accueillir, dans le cadre du cours commun « Gestion des entreprises » de première année du cycle ingénieur·e , deux personnalités engagées, dans leur vie et dans leur métier, pour faire bouger les lignes et ce, de façon bien différente.

Éric Bergé présentera la méthode du Plan de Transformation de l’économie française (PTEF) publié par le Shift Project en février 2022 ainsi que les propositions du chapitre qu'il a co-rédigé, consacré à l’industrie lourde, secteur qui fournit les matières premières consommées par tous les autres. L’objectif est de montrer comment décarboner l’économie au rythme de 5% par an sur la base des technologies disponibles mais surtout de créer dès aujourd’hui les conditions pour favoriser cette trajectoire. Le PTEF, lancé au printemps 2020, est un vaste programme qui a permis d’identifier les mesures concrètes pour permettre à l’économie de se décarboner au rythme de 5% par an, en favorisant la résilience et l’emploi.

Hélène Grosbois témoignera quant à elle de sa transition d’une grande banque à la permaculture et à la quête d’autonomie. Selon elle, la croissance « verte » est un mirage et, pour mener une vie compatible avec la nécessaire décroissance, la meilleure solution serait de quitter la ville. Un mouvement massif de transition de ce type serait possible et elle a quelques idées pour y parvenir. Hélène nous parlera des enjeux dans l’agriculture, du productivisme et de notre rapport au vivant. À ses yeux, il n’y a qu’une seule solution : décroître et ce, très fortement.
 

Éric Bergé a rejoint le Shift Project en tant que chef de projet Industrie lourde dans le cadre du Plan de Transformation de l’Économie Française. Diplômé de l’ESCP et de l’École Centrale Paris (Mastère Spécialisé Technologies et Management), Éric a passé près de trente ans dans l’industrie des matériaux et dans la chimie de la construction en France, aux États-Unis et en Asie. Il a notamment présidé les entreprises Chryso et Parex Groupe. Aujourd’hui, au-delà de son implication au sein du Shift Project, il accompagne et mentore des projets d’innovation pour la décarbonation.

Hélène Grosbois a d’abord travaillé au secrétariat général de la direction des activités de marché de la Société Générale. Elle a quitté la finance pour s'orienter vers des organisations environnementales telles que la COP 23, le WWF, où elle a collaboré avec Pascal Canfin, puis l'ONG Finance Watch afin de verdir la finance européenne. Elle a effectué une reconversion dans l'agriculture biologique car elle estime que l'agriculture est au cœur de la transition écologique. Elle est actuellement activiste pour la cause écologique et est rapporteure de l'assemblée citoyenne de la Nièvre.

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Fresque de la biodiversité

Fresque de la biodiversité

Mais qu'est-ce que c'est encore que cette fresque ? (Quoi ? Encore une Fresque ??)

La fresque de la biodiversité est une des sœurs de la Fresque du climat. Elle a été imaginée pour faire comprendre les enjeux et pressions autour de la biodiversité. Elle permet ainsi en 3h d'expliquer l'aspect systémique de l'érosion de la biodiversité : ce qu’elle est, ce qu’elle permet et ce qui la dégrade.

Cette Fresque imaginée par une association se base sur le rapport de l'IPBES (le "GIEC de la biodiversité") et se déroule au travers d'un atelier ludique, collaboratif, visuel et accessible à tou·tes.

Nous vous invitons à participer à cet atelier qui sera organisé à CentraleSupélec pour une trentaine de personnes le Jeudi 1er décembre de 13h à 16h en VI.126.

Nous vous invitons à vous inscrire via le formulaire ci-dessous, en vous rappelant qu'il est engageant (étant donné le nombre limité de places, vous risquez de bloquer la place d'un·e autre) :

https://framaforms.org/fresque-de-la-biodiversite-1668967159

En cas d'impossibilité d'assister à la Fresque, merci de bien vouloir prévenir l'équipe des cafés frappés (adresse : cafes-frappes@listes.centralesupelec.fr).

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A-t-on encore besoin d’ingénieur·es ?

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A-t-on encore besoin d’ingénieur·es ?

« La vie, sur Terre, est en train de mourir. L'ampleur du désastre est à la démesure de notre responsabilité. L'ignorer serait aussi insensé que suicidaire. Plus qu'une transition, je pense qu'il faut une révolution. Et c'est presque une bonne nouvelle. » C'est de cette façon qu'Aurélien Barrau nous interpelle dans son dernier livre. Dans cette conférence, un très bref état du monde sera dressé. Le caractère fondamentalement systémique de l’effondrement sera mis en avant, en insistant sur la hiérarchisation des leviers. Quelques lignes d’échappée possibles seront soulignées au-delà du solutionnisme ingéniérique, qui est intenable.
 

Aurélien Barrau est astrophysicien et professeur à l’Université Grenoble-Alpes. Spécialiste de la relativité générale et de la cosmologie, domaines dans lesquels il a publié une centaine d’articles, il est directeur du Centre de Physique Théorique de Grenoble, membre honoraire de l’Institut Universitaire de France et lauréat de plusieurs prix scientifiques. Il est par ailleurs docteur en philosophie et très engagé sur les questions écologiques et sociétales, et en particulier le changement climatique et les dommages infligés au vivant.

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La systémique pour comprendre le monde et concevoir l'avenir

La systémique pour comprendre le monde et concevoir l'avenir

Arthur Keller interviendra le mercredi 12 octobre de 13h45 à 17h dans l'auditorium du bâtiment Eiffel, dans le cadre du cours commun de deuxième année "Modélisation Systèmes" proposé par Marija Jankovic. Il viendra expliquer comment et pourquoi la systémique peut aider à comprendre le monde et à concevoir l'avenir.

Dans son exposé, il proposera une caractérisation de la problématique dans laquelle nous nous trouvons avec une approche système, en l'illustrant en particulier avec le rapport Meadows, encore appelé rapport du Club de Rome, "The Limits to Growth" (MIT, 1972). Après avoir présenté les verrouillages systémiques des sociétés modernes, il en déduira un espace des réponses pertinentes. Il appliquera alors les concepts de la systémique aux grandes dynamiques qui déterminent l'évolution du système Terre et des sociétés humaines. Il montrera par la suite pourquoi la systémique est utile et quelles sont ses limites et ses dérives possibles. Il terminera son intervention en donnant quelques avertissements et recommandations.
 

Arthur Keller est ingénieur en aérospatiale de formation. Il est systémicien et expert de l'analyse des limites et vulnérabilités des sociétés modernes et des systèmes socio-écologiques résilients. Il a, entre autres, travaillé dans des cabinets de conseil et pour une ONG, été chercheur sur la question de l’usage des récits comme leviers de mobilisation et de transformation et élaboré un projet de résilience pour la Ville de Bordeaux. Il intervient en tant que conférencier, consultant et formateur au service de collectivités, d’associations, d’institutions et d’entreprises qu’il accompagne dans la définition d’objectifs et dans l’élaboration de visions d’avenir.

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Représentation de la pièce de théâtre "Effondré·e·s"

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Représentation de la pièce de théâtre "Effondré·e·s"

Venez assister à une représentation de la pièce de théâtre documentaire "Effondré·e·s" par la compagnie Enascor : un choc esthétique, émotionnel et intellectuel sur les effondrements en cours. Elle sera suivie d'un bord de scène, c'est-à-dire d'un échange avec les comédien·nes et le metteur en scène, et d'un apéritif dînatoire. Ce Café aura lieu dans l'amphithéâtre de la Scène de Recherche de l’École Normale Supérieure de Paris-Saclay. Il est co-organisé avec la Scène de Recherche et la Vice-Présidence Développement Soutenable de l'Université Paris-Saclay.

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La biodiversité : quelle importance ?  Apprendre à cohabiter avec le vivant

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La biodiversité : quelle importance ?  Apprendre à cohabiter avec le vivant

Tout le monde est familier du terme « biodiversité ». Mais que recouvre ce vocable simple en apparence ? On entend à l’envi « la biodiversité est en crise ». Sommes-nous à l’aube d’une sixième extinction dont nous serions la cause ? Que peuvent nous apprendre les crises du passé géologique de la Terre ? Pouvons-nous encore redresser la barre ? Quels sont nos leviers d’action ? La vraie question ne serait-elle pas éthique, une éthique pour la planète ?

Bruno David, président du Muséum National d’Histoire Naturelle, nous donnera l'occasion d'en apprendre plus sur ce vaste sujet et de nous interroger sur nos moyens d'actions pour faire perdurer notre écosystème terrestre. Ce Café Frappé est co-organisé avec la vice-présidence Développement Soutenable de l'Université de Paris-Saclay.

 

Courte biographie de l'intervenant

Bruno David est Président du Muséum National d’Histoire Naturelle depuis 2015 et a été auparavant chercheur au CNRS. Paléontologue et biologiste, ses recherches l’ont conduit à étudier l’évolution de la biodiversité. Il a participé à de grandes missions océanographiques, notamment dans l'Océan Austral, la mer des Caraïbes et dans le Pacifique avec le submersible Nautile. Il tient, depuis septembre 2020, une chronique sur France Culture et est l’auteur de « À l’aube de la 6è extinction », paru chez Grasset (2021).

 

Vous pouvez participer à cet événement en présentiel dans le théâtre Rousseau du bâtiment Bouygues du campus de Paris-Saclay ou en distanciel grâce aux informations de connexion suivantes :

- pour participer à la réunion Zoom

https://us02web.zoom.us/j/85417847784?pwd=UTROTmhIT0RydEVQNGFjcDcwTlRSQT09

Si vous avez déjà un compte: ID de réunion : 854 1784 7784/ Code secret : 977809

- pour rejoindre par téléphone, trouvez votre numéro local : https://us02web.zoom.us/u/kdSb4xa7Ku

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Travailler dans l'IA ou pas : le témoignage de deux jeunes ingénieurs

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Travailler dans l'IA ou pas : le témoignage de deux jeunes ingénieurs

Nous nous posons tou-te-s beaucoup de questions sur le sujet de l'Intelligence Artificielle : 
- de quoi parle-t-on ?
- est-ce l'enrichissement d'algorithmes à la manière de l'enrichissement des apprentissages humains dans le cerveau ?
- est-ce le traitement statistiques de données rendu possible grâce à l'augmentation des puissances de calcul ?
- dans quels domaines s'exerce-t-elle et à quelles fins ?
- est-ce un secteur qui me tenterait et pourquoi ?

Venez retrouver le témoignage de deux jeunes ingénieurs, l'un qui a rejoint ce secteur Thibaut Germain et l'autre Romain Boucher qui l'a quitté : ils nous donneront l'occasion d'en apprendre plus sur ce secteur dont on parle beaucoup et de nous interroger sur son impact environnemental et social, sur son utilité pour nos sociétés.

Suite à des études d'ingénieurs aux Mines de St-Etienne, Thibaut Germain s'est lancé dans un VIE en Californie en tant que supply chain manager d'une entreprise de sécurité incendie. À la fin de son contrat, il revient en France avec des problèmes de santé et un certain malaise, le milieu de l'entreprise ne lui plait pas. Il cherche alors à se reconvertir. Après avoir envisagé de devenir enseignant dans des quartiers difficiles ou encore de s'impliquer dans la transition écologique, il choisit de s'inscrire au MVA (master d'IA de l'ENS Paris Saclay) parce qu'il s'est découvert une passion pour le traitement de données dans un contexte Covid. Très satisfait de son choix d'orientation, il est à présent en thèse au Centre Borelli, le laboratoire de maths appliquées l'ENS Paris-Saclay. Il travaille sur la détection d'anomalies dans les signaux en santé.

Romain Boucher est un ingénieur diplômé de l’École des Mines et titulaire d’un master en mathématiques appliquées et statistiques à l’université Claude Bernard (Lyon 1). Il s’est spécialisé en sciences des données avant de rejoindre le cabinet français Sia Partners comme consultant data scientist. Après trois ans de missions dans l’énergie et le secteur public, il démissionne pour mieux dénoncer, avec cette lettre ouverte publiée en avril 2021, le rôle du numérique, du big data et de l’IA dans le ravage écologique et social. Pour plus d'informations sur d'autres sujets, voir l'ensemble des rapports de l'association ici.

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Quelle est notre place en tant qu'étudiant·e dans la Transition ?

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Quelle est notre place en tant qu'étudiant·e dans la Transition ?

Trouver son rôle en tant qu'étudiant·e en filière scientifique face aux enjeux de la Transition n'est pas chose facile. Nombreuses sont les questions que l'on peut se poser : Quel pouvoir avons-nous en tant qu'étudiant·e ? Que peut-on concrètement réaliser ? De quelle façon faut-il agir ? Peut-on améliorer nos formations pour nous permettre d'aborder de telles problématiques ? Car c'est aussi à nous, étudiant·e·s, de réfléchir au futur de nos formations. 

Nous vous proposons de venir partager ces réflexions et participer au débat autour de la place de l'étudiant·e dans un monde en pleine transition. 

Noam, un étudiant de l'ENS témoignera sur les leviers qu'il a pu utiliser dans sa volonté de participer à un changement à son échelle. 
Ce témoignage lancera des ateliers de discussion participative avec le public portant sur différentes thématiques de la Transition.

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La désobéissance civile face aux crises environnementales et sociales

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La désobéissance civile face aux crises environnementales et sociales

Alors que les scientifiques peinent à faire prendre conscience de l'urgence environnementale, des citoyens s'organisent pour mettre à l'ordre du jour une transformation écologique et sociale. Entre organisation de marche, actions chocs et désobéissance civile, les militants de certaines associations veulent proposer une autre vision de la société, pour changer le système et pas le climat ! 

Venez écouter le témoignage de Thomas Courtois, membre d'Alternatiba (https://alternatiba.eu/) et d'ANV COP21 (https://anv-cop21.org/), et débattre avec lui sur son engagement et sur ces sujets qui nous concernent tou·te·s ! 

Né en 1989, ingénieur, Thomas a commencé à militer chez Alternatiba après avoir lu un article de journal.  Depuis, il a pu expérimenter à la fois la répression des forces de l'ordre, les incompréhensions des riverain·e·s mais aussi la force et la solidarité d'un collectif. Après ses journées de travail, il participe à l'organisation de marches ou de camps climat et à la sensibilisation au dérèglement climatique. Thomas mène par ailleurs des actions pour dénoncer le greenwashing d'entreprises et de personnalités politiques.

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L'entreprise productrice de biens communs numériques : mission (im)possible ?

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L'entreprise productrice de biens communs numériques : mission (im)possible ?

Le numérique joue un rôle prépondérant dans toutes nos activités, que ce soit à titre individuel, associatif ou au sein des entreprises 👩‍💻 Pour lutter contre le monopole de certains organismes, le monde des logiciels libres 📲 et de l’open data 🔓 s’organise pour coopérer et offrir des alternatives éthiques, accessibles à tou·te·s, dans un souci du bien commun.

Depuis 2018 la MAIF développe ses premiers projets en Open Source et ouvre son premier projet de Data Science 🧪 Nous vous proposons de découvrir cet écosystème et d’en débattre avec Chris Woodrow, responsable du développement informatique et de la stratégie Open Source. Il a également été consultant et architecte de systèmes d'information dans des domaines variés l'utilisant.

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La fiction littéraire pour imaginer la transition écologique et sociale

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La fiction littéraire pour imaginer la transition écologique et sociale

La transition écologique et sociale est-elle motivée uniquement par des convictions scientifiques ? Comment les arts comme la littérature peuvent-ils toucher de manière différente ?

Co-organisé avec les bibliothèques de CentraleSupélec, ce prochain Café Frappé sera sous forme d’une rencontre-débat avec un romancier, Thomas Reverdy, et un éditeur, Gallmeister représenté par Benjamin Guérif.
En plus d’un apéritif, un "book truck" permettra d'emprunter des livres sur ce thème et de découvrir les ouvrages des intervenants.

Thomas B. Reverdy publie son premier roman La montée des eaux en 2003 et obtient le prix Interallié pour L’Hiver du mécontentement en 2018. Avec Climax, publié en août, il réveille le roman d’aventures en lui offrant une dimension contemporaine et crépusculaire : les glaciers fondent, les ours meurent et l’humain a irrémédiablement tout abîmé. Au moins, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d’un monde.

Benjamin Guérif, directeur de la collection Totem des éditions Gallmeister, met en perspective la question climatique dans la littérature américaine : la jeune nation américaine se confronte au développement marqué par le saccage de plus en plus important des grands espaces, alors que les écrivain·e·s ont alerté sur la nécessité de préserver ce trésor. Comment réagir ?

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Électricité et numérique dans la Transition : la solution ou l'aliénation ?

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Électricité et numérique dans la Transition : la solution ou l'aliénation ?

La conférence exposera une pensée critique de la manière dont les phénomènes électriques et numériques sont devenus à la fois un moyen et un enjeu de pouvoir, entraînant une forme de servitude.

Dans ce contexte :

  • Quels outils pour réorienter nos économies de façon plus soutenable ?
  • Quelles pistes pour éviter la fuite en avant du technosolutionnisme ?
  • Quel rôle pour la société civile ?

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Du plastique des océans au social: Nerrivik, l'expédition qui emballe

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Du plastique des océans au social: Nerrivik, l'expédition qui emballe

La présence toujours accrues de plastique dans nos océans provoque la dissémination de particules à travers toutes les chaînes du vivant.

Un étudiant de CentraleSupélec a co-créé l’association Mission Nerrivik pour organiser une expédition à la voile autour de l’Atlantique Nord afin de réaliser des prélèvements de plastique océanique pour l’organisation The Ocean Cleanup, ainsi que des mesures d’océanographie physique et de biologie marine. Avec les autres membres de l’équipage, ils vont embarquer à bord des jeunes issus de milieux défavorisés avec l’association Le Rocher Oasis des Cités, tout en développant un programme éducatif basé sur leur expédition avec des écoles de leur région.

Ce café frappé abordera la préparation de la mission, la définition de ses objectifs et ses potentielles retombées pour atténuer les pollutions engendrées par les usages du plastique. Bruno Sainte-Rose, ingénieur chez Ocean Cleanup, fera un état des lieux de la pollution plastique en mer et des travaux en cours.

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L’engagement pour la Transition: itinéraire de deux jeunes ingénieurs

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L’engagement pour la Transition: itinéraire de deux jeunes ingénieurs

Si la science fournit les outils pour évaluer, comprendre et prédire l’ampleur de la crise écologique initiée par les activités humaines, il est souvent difficile de s’engager une fois le constat fait. Quel rôle pouvons-nous jouer en tant que citoyen-ne, scientifique, chercheur-euse, ingénieur-e, artiste? De nombreuses pistes sont ouvertes, et bien d'autres restent à découvrir! Une chose est sûre, la diffusion des connaissances scientifiques est et restera un enjeu crucial.

Ce café frappé abordera le parcours et les projets de deux ingénieurs centraliens, Téo Saal et Lucas Zufic, et d'un dessinateur de bande dessinée, Jonas Teboul. Convaincus de l'importance de l'art, des récits et des imaginaires positifs pour engager une vraie transition sociétale basée sur les connaissances scientifiques, ils illustrent en BD les propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat. Avec "La CCC en BD", ils espèrent rendre plus accessible ce rapport citoyen, qui définit les transformations nécessaires de nos sociétés pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre.

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L'obsolescence: prête à jeter ?

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L'obsolescence: prête à jeter ?

L’association HOP (Halte à l’obsolescence programmée) fédère les citoyen-ne-s pour engager les décideurs publics et privés afin d’aller vers des produits durables et réparables. Elle agit par la sensibilisation des citoyen-ne-s aux enjeux de l'allongement de la durée de vie des produits et propose des solutions concrètes sur son site produitsdurables.fr. Elle réalise aussi des rapports d'enquêtes, des publications et dénonce les pratiques d’obsolescence programmée.

L'intervenante Laetitia Vasseur est co-fondatrice, déléguée générale de l'association. Reconnue en tant qu'experte de l'économie circulaire, elle a travaillé comme collaboratrice parlementaire au Sénat, puis comme consultante et enseignante. Elle est aussi auteure de l'ouvrage Du jetable au durable (Gallimard, 2017) et chroniqueuse pour Alternatives économiques.

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Regard citoyen sur l'évolution de nos modes de transport

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Regard citoyen sur l'évolution de nos modes de transport

Laurent Castaignède : fondateur du bureau d'études BCO2 Ingénierie, qui réalise des analyses d'impacts environnementaux dans les domaines du bâtiment, des transports et de l'événementiel. A récemment publié le livre Airvore ou la face obscure des transports (Éditions Écosociété, 2018). Le sommaire est ici.

Charles-Adrien Louis : co-fondateur de la société de conseil coopérative B&L Évolution. Travaille sur le panorama global de l'évolution des usages du transports et sur l'impact correspondant : impact social, émissions de gaz à effet de serre, ponction des ressources...

Yves Tresson : chef de service transport à la région Centre Val de Loire. Étudie l'évolution du transport terrestre et l'impact sur l'urbanisation.

Pour les membres de CentraleSupélec : code Teams 9g6zxv5

En coopération avec la Mention "Aéronautique, Espace et Transports" de troisième année

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La transition vue par les syndicats

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La transition vue par les syndicats

 

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Agriculture durable et relocalisation

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Agriculture durable et relocalisation

 

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Monnaie et Environnement

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Nos usages du numérique sont-ils soutenables ?

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Nos usages du numérique sont-ils soutenables ?

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Vêtements pas chers : oui, mais à quel coût ?

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Vêtements pas chers : oui, mais à quel coût ?

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La technologie au secours de la planète ?

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La technologie au secours de la planète ?

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Énergie : de la facture au projet de territoire

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Énergie : de la facture au projet de territoire

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Faut-il arrêter de prendre l'avion... et la voiture aussi ?

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Faut-il arrêter de prendre l'avion... et la voiture aussi ?

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Le café, de l'arbre à la tasse, quels impacts ?

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Le café, de l'arbre à la tasse, quels impacts ?

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