La transition écologique et sociale est-elle motivée uniquement par des convictions scientifiques ? Comment les arts comme la littérature peuvent-ils toucher de manière différente ?
Co-organisé avec les bibliothèques de CentraleSupélec, ce prochain Café Frappé sera sous forme d’une rencontre-débat avec un romancier, Thomas Reverdy, et un éditeur, Gallmeister représenté par Benjamin Guérif.
En plus d’un apéritif, un "book truck" permettra d'emprunter des livres sur ce thème et de découvrir les ouvrages des intervenants.
Thomas B. Reverdy publie son premier roman La montée des eaux en 2003 et obtient le prix Interallié pour L’Hiver du mécontentement en 2018. Avec Climax, publié en août, il réveille le roman d’aventures en lui offrant une dimension contemporaine et crépusculaire : les glaciers fondent, les ours meurent et l’humain a irrémédiablement tout abîmé. Au moins, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d’un monde.
Benjamin Guérif, directeur de la collection Totem des éditions Gallmeister, met en perspective la question climatique dans la littérature américaine : la jeune nation américaine se confronte au développement marqué par le saccage de plus en plus important des grands espaces, alors que les écrivain·e·s ont alerté sur la nécessité de préserver ce trésor. Comment réagir ?